Registre A110

par Yves-hervé dujardin

17668 (description du propriétaire français actuel datant du 20 janvier 2012)

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Lors de sa livraison le 23 septembre 1971, la voiture possédait les caractéristiques suivantes certifiées par l'usine : A110 1600 S type 1600 VB n° 17668, carrosserie n° 5062 AA, couleur orange n° 3-3-12, options : pare-brise chauffant, arceau de sécurité et pot d'échappement Autobleu.

J'ai acheté la voiture le 19 septembre 1985 à André de Cortanze qui la possédait depuis le 22 octobre 1981 et qui m’a expliqué qu’il l’avait récupérée à l’usine Alpine en état d’épave ou elle avait été reconditionnée par les mécaniciens du Service Course. Malheureusement, à l’époque j’ai omis de faire une copie de la carte grise.

À son achat la voiture possédait les caractéristiques suivantes :

Immatriculation 9303 KF 92, couleur bleu métal, ailes bulles usine (avec le bourrelet), jantes Gotti 073R 7 et 9" montées en TB15, moteur 1600 GS n° 1578 (bloc peint en doré, cache culbuteurs en noir et carter inférieur Mignotet en tôle nervurée), boîte de vitesses de type 353, freins d’origine mais gros maître cylindre, les charnières de portes et le capot arrière sont frappés du n° 991. Il y a les traces de la présence précédente d’un attache capot avant coté gauche ainsi que d’un coupe circuit à proximité et de deux attaches capot arrière. Le toit s’enfonce sous la pression d’un doigt ainsi que la partie plane des portières et les capots. Les pare-chocs sont en plastiques. Il n’y a plus de Neiman, les clés des serrures ont été égarées et le tableau de bord est équipé d’un lecteur de cartes. L’intérieur a été refait à neuf et est équipés de siéges baquets avec appui-tête incorporé et de harnais.

Lors de son rapatriement, par la route, de Saint Cloud à mon domicile, j’ai cassé le premier rapport de boîte à Boulogne. Après démontage, le pignon secondaire de boîte ne possédait plus une seule dent (il est encore en ma possession) et le carter était percé. Pour réparer, je me suis procuré une boîte 353 d’occasion, mais avec la puissance et la brutalité du moteur, le pignon primaire de seconde n’a tenu qu’une centaine de kilomètres !

Depuis, j’ai refait cette boîte 353 avec des pignons de Renault 16 TX et un différentiel de Renault 18 turbo comme indiqué dans un article de Karl Ruth paru dans la première série de Mille Miles. Cette boîte me donne entière satisfaction tant au niveau de l’étagement que de la fiabilité.

Actuellement mise à part la boîte de vitesses, la voiture est telle que je l’ai acquise en 1985. Elle est parfaite mécaniquement, mais la peinture doit être refaite.

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